Dans une verrerie, des résidus de matières combustibles se trouvant en partie basse d’une charpente métallique au-dessus d’un four prennent feu vers midi. Le personnel éteint les flammes avec 3 lances à eau, le bâtiment n’est pas évacué. De la fumée continue à se dégager. Les pompiers publics déploient 3 lances et rencontrent des difficultés d’accès à la charpente métallique. Ils demandent le renfort d’un groupement d’intervention en milieu périlleux (GRIMP) pour déterminer le point d’attaque le plus efficace. Ils refroidissent ensuite 600 m² de toiture depuis 1 échelle. Le bilan est d’un employé légèrement intoxiqué par les fumées et d’un pompier victime d’un coup de chaud.

Le sinistre n’a pas eu d’impact sur l’outil de production. Un organisme spécialisé procède au contrôle de la structure métallique 3 jours après et constate que cette dernière n’est pas endommagée. L’origine de l’incendie, initialement attribuée à un défaut électrique (câble de luminaire), reste indéterminée.