Dans une verrerie spécialisée en ophtalmologie, un feu se déclare à 4h30 sur une machine nettoyant des moules de verres ophtalmiques. Le capot de la machine fond sous l’effet de la chaleur. Trois têtes de sprinklage s’enclenchent dont une au-dessus de la machine. Les eaux d’extinction font déborder une capacité interne à la machine qui contient de l’acide sulfurique. Celui-ci se répand dans le local, puis s’infiltre par un joint jusqu’à l’étage du dessous.

Bien que l’acide présent soit concentré, la quantité déversée est fortement diluée. Les conséquences sur l’environnement paraissent donc très limitées.

Une société spécialisée pompe l’ensemble du liquide répandu et nettoie les ateliers. L’inspection des installations classées demande à l’exploitant d’identifier les causes de l’événement.