Un engin de terrassement chargé de curer le CANAL DU RHONE heurte et perfore un pipe-line d’hydrocarbures, entraînant le déversement de 90 m³ de kérosène. Le sol sableux est pollué en surface sur 150 m². La mise en place rapide de barrages flottants sur le canal contient une partie de la pollution. L’intervention sur la canalisation n’est efficace que plusieurs heures après l’accident. De nombreux pompiers sont mobilisés, des confusions sur la responsabilité de la direction des opérations de secours ralentissent l’intervention. La pollution est limitée sur le canal. La nappe phréatique est menacée.