Le 22/05, l’exploitant d’une centrale nucléaire détecte un dépassement du seuil sanitaire de concentration d’amibes pathogènes dans l’eau du circuit tertiaire de refroidissement d’un réacteur qui se rejette dans la MEUSE.

Le circuit intègre un dispositif de traitement contre les amibes en cas de besoin. Les résultats des analyses microbiologiques n’étant disponibles que plusieurs jours après prélèvement, l’exploitant qui doit anticiper la prolifération avait entrepris un traitement le 20/05 s’est révélé insuffisant. Le seuil maximum recommandé par les instances sanitaires est dépassé du 18 au 21/05 (résultats connus entre le 22 et le 25/05).