Dans une usine chimique, 2 équipements sous pression (échangeur et récipient) situés sur la boucle de l’atelier de phosgène sont soumis à des pressions nettement supérieures à leur pression de calcul (11 bar pour une PMS de 4 bar) lors du redémarrage de l’unité après un 1er accident survenu la veille (ARIA 33004).

Aucune perte de confinement n’est relevée, les premiers calculs effectués après l’incident semblant indiquer que les 2 appareils ont supporté la contrainte appliquée. Néanmoins, ils devront subir des contrôles non destructifs pour garantir leur intégrité et une requalification périodique anticipée.

Une vanne restée ouverte lors du redémarrage de l’installation serait à l’origine de la montée en pression accidentelle.