A la suite d’un acte de vandalisme sur des pompes à gazole écologique d’une entreprise de transport de voyageurs, à 6h30, 6 000 l d’hydrocarbure s’écoulent sur 100 m² de terre et dans les égouts. Le propriétaire contacte une société privée pour prendre en compte la terre contaminée. A 13h30, une équipe CMIC intervient pour éviter le déversement du produit dans un étang dont le trop plein se jette dans l’AISNE et met en place un barrage sur une buse de rejet dans la rivière. Aucune pollution de l’AISNE n’est constatée. Une société privée pompe l’hydrocarbure dans un 1er bassin puis au niveau du barrage dans un 2ème bassin. Toutes les mesures d’explosimétrie se révèlent négatives.