Une fuite non quantifiable d’hydrocarbures se produit en zone portuaire lorsqu’un transporteur céréalier percute les infrastructures portuaires lors de l’accostage. Cette collision entraîne une déformation avec deux petites fuites au niveau du pipeline alimentant le dépôt pétrolier et la rupture d’une canalisation d’eau de la ville. Un périmètre de sécurité de 200 m est mis en place. L’éperonnage de la passerelle supportant les canalisations est du à la perte du contrôle de ce navire par les 3 remorqueurs qui l’avaient pris en charge du fait d’un fort vent de travers. La maîtrise de la situation nécessite plus de 3 h et conduit à 6 ruptures d’amarres.