Pollution
Humain
Environnement
Economique

Bien que les résultats d’analyses aient toujours été négatifs jusqu’en octobre (900 UFC/l), le 14/01/04, les prélèvements révèlent une concentration en légionelles de 1 930 000 UFC/l dans une tour aéroréfrigérante (TAR) d’une industrie de l’agroalimentaire. Un autre prélèvement est effectué pour contre-analyse. L’usine arrête sa TAR et la décontamine (chloration, nettoyage, chloration, expertise du réseau). Après redémarrage de l’installation, une analyse hebdomadaire sera effectuée. La préfecture et la DDASS sont informées. Les professionnels de santé du secteur concerné sont avertis du risque de contamination encouru par la population, dans le but d’attirer leur attention sur tout signe clinique susceptible d’apparaître. L’identification des souches de légionelles est demandée pour connaître le lien entre celle prélevée dans la TAR et celle du patient contaminé identifié début janvier à l’hôpital de Chartres. Ce malade habite Maintenon et se rend régulièrement à Epernon. La DRIRE demande aux 3 industriels implantés dans les alentours de réaliser des analyses sur leurs installations.