Dans une centrale thermique, des hydrocarbures sont détectés au niveau d’un regard de contrôle des conduites d’alimentation situées dans des gaines enterrées. La canalisation incriminée est immédiatement réparée. La quantité déversée ne semble pas nécessiter une opération de dépollution. Or, un mois après, lors d’un contrôle des eaux souterraines prescrit par l’arrêté préfectoral d’autorisation, la présence d’hydrocarbures flottants sur la nappe phréatique est détectée à 2 m au nord du point d’infiltration. Une semaine après, l’exploitant met en place un dispositif de fixation-dépollution plus important. Il indique également que l’extension de la pollution est en cours de vérification. Une surveillance de la qualité des eaux des puits d’arrosage située à l’aval du site sera assurée alors jusqu’à la résorption de la pollution.