Dans un atelier d’une usine tôlerie-serrurerie de 9 000 m², un feu se déclare dans le conduit d’extraction d’air d’une cabine de peinture glycérophtalique. L’incendie qui semble maîtrisé après intervention des employés à l’aide d’extincteurs, reprend et s’étend à 2 cabines voisines puis à la toiture. Un mur coupe-feu permet de protéger un local de stockage de peintures, solvants et autres produits chimiques. L’intervention des pompiers limite les dommages à 1 500 m² d’atelier et à 800 m² de toiture. Les 3 cabines (2 solvant-glycéro et 1 poudre-époxy) sont détruites. La défaillance d’un moteur électrique serait à l’origine de l’inflammation, une intervention était en cours au moment du sinistre à la suite à l’apparition d’odeurs suspectes.