Une importante contamination de la nappe phréatique est découverte à la suite d’une fuite de carburant sur une conduite enterrée dans une station-service. Un puits appartenant à un particulier est pollué. Une 1ère campagne de décontamination est réalisée sur 8 mois par pompage en surface, dégazage par dépression, épuration sur charbon actif et bio traitement. La concentration résiduelle cible de 0,1 mg/l est atteinte en mai 92, mais une remontée de la nappe entraîne des poches d’HC non résorbées et de nouvelles plaintes sont déposées dés le mois de juillet 92 (cas n° 3751).